Détenteur du diplôme de médecine de l’université de Liège depuis 1983, le Dr De Leuze est fort de 35 années d’expérience en tant que médecin de famille. Il pratique donc une médecine de proximité qu’il se complaît en toute circonstance, à exercer avec passion, enthousiasme et efficacité.
Faisant preuve d’une bienveillance sans faille, son fer de lance reste l’accompagnement du patient dans son parcours de vie, tant au niveau physique que psychologique. S’il consacre une grande partie de son énergie à assurer et affûter son diagnostic, opter pour une option thérapeutique tant personnalisée qu’adaptée pour ses patients, reste sa priorité absolue.
Philanthrope dans l’âme, l’exercice quotidien de sa vocation l’a tout naturellement poussé à tisser une solide relation de confiance mutuelle avec ses patients, nourrir une farouche volonté de les aider lorsqu’ils souffrent et améliorer significativement leur qualité de vie.
Tel est pour lui, son cheval de bataille et sa définition d’une médecine de proximité tant relevante que fructueuse et source de bien-être pour chacun.
Son sens aigu de l’empathie lui confère d’indéniables compétences dans une de ses matières de prédilection: la gériatrie, incluant l’accompagnement en fin de vie, dans le plus grand respect et dignité.
Dans son approche médicale et sa volonté de prise en charge globale de ses patients, le Dr De Leuze insiste pour leur proposer une alternative saine précédant toute prise médicamenteuse éventuelle. Il conscientise ses patients en insistant sur l’importance d’une hygiène de vie optimale, passant par une alimentation saine et la pratique régulière d’une activité physique.
« Prenons soin de notre corps car il est le plus bel écrin de l’âme ».
Une anecdote :
Novembre 1983, fraîchement installé en mon cabinet de Nivezé, je garde un souvenir cocasse de ma première visite. J’avais été appelé en fin de matinée pour une visite urgente au domicile d’un couple d’octogénaires qui avaient manifestement l’habitude d’accorder leur entière confiance à mon prédécesseur. Me découvrant pour la toute première fois et manifestement attachés aux apparences, je leur paraissais relativement peu crédible. Comment leur en tenir rigueur puisqu’il faut reconnaître que mon allure juvénile donnait l’illusion d’un lycéen prépubère qui aurait sauté deux classes. D’autant plus que j’étais arrivé avec ma voiture d’étudiant: une Citroën 2CV. Pleinement conscient qu’on a pas une seconde chance de faire une première bonne impression, ma priorité était de rassurer mes patients, très soucieux
de voir débarquer un « novice » pour s’occuper de leur cas. Je m’amusais de les entendre me dire :”docteuuuuur, vous êtes fort jeuuuuuune, vous êtes sûr que ça va aller avec la surdité de mon mari et ma sciatique qui me reprend?”, tout en reluquant par dessus mon épaule, cherchant désespérément un “vrai docteuuuur”, susceptible de leur sauver la vie. Je mis un point d’honneur à l’exactitude de mon diagnostic, à procéder à une anamnèse méticuleuse et terminer ma visite avec la plus grande rigueur. C’est alors que, sur le point de quitter les lieux et enfilant mon manteau, j’entendis la voix tonitruante de la dame s’exclamer auprès de son époux malentendant: ” Il est bien ce p’tit gars-là, il ira loin…” et effectivement, je suis toujours là, 35 ans plus tard, mû par la même vocation d’aider mon prochain et avec quelques (rares) cheveu blanc sur le crâne …